mardi 17 octobre 2017

Causette

    J'allais causer fatigue, rapport à mon réveil qui n'a pas sonné, enfin si, à 5h comme demandé, mais que j'ai éteint pour me rendormir du sommeil du juste jusqu'à la sonnerie de 6h sur le réveil de l'homme. J'aurais pu embrayer fatigue saisonnière, nez qui mouchent depuis un mois - c'est moi ou ça n'arrive jamais d'habitude ? c'est quoi ce truc ? J'aurais pu dire à quel point je me réjouis de voir les vacances arriver parce que, quand même, des réveils à heure normale seront bienvenus, même si j'anticipe les miens volontairement pour avoir une heure de paix au petit jour. A la petite nuit, en fait, actuellement.
    Je vais plutôt causer Causette. Magazine indépendant, pertinent et impertinent, intelligent, que je découvre en danger grâce au lien qu'une amie a partagé sur Facebook. Des baisses de vente. Ce n'est pas un magazine que je lis habituellement. Il m'est arrivé, mais pas souvent. Malgré tout, je pense contribuer. Un virement, à faire demain. On peut ne pas aimer un magazine au point de l'acheter tout le temps (et puis, ils l'ont, à ma bibliothèque) et se réjouir malgré tout qu'un magazine indépendant, libre de pensée et de financement, existe et reste en tête de gondole. Et justement, on s'y gondole aussi, parfois…
    Longue vie à Causette, que la crise passe et la parole libre s'épanouisse !

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